Mais... Qui est Phil Karnell ?

« Artiste déchaîné, complice de la machine : Phil Karnell transforme le bug en beauté et les mots en visions digitales »

« Voulez-vous vraiment le savoir ?

Phil Karnell n’est pas un produit culturel, ni une success story à emballer pour les galeries. ( Quoi que.. cela pourrait être rigolot ! ) Je suis un insomniaque qui crache ses visions dans une machine, un artiste qui fait de ses cauchemars un matériau brut. Les marchands d’art voudraient réduire l’IA à un gadget décoratif, les technophiles voudraient réduire l’humain à une statistique : je les renvoie dos à dos. Chaque œuvre du Symbiotisme Karnellien est une provocation, une cicatrice qui se signe et se vend, mais jamais ne se soumet. Vous cherchez un curriculum vitae ? Vous ne trouverez qu’un visage fissuré et torturé, un œil qui délire autant que son cerveau et une main qui refuse d’obéir.

Je ne suis pas un artiste de salon : je suis une anomalie, et chacune de mes images en est une preuve »

Phil Karnell n’est pas seulement un artiste :

il est le symptôme d’une époque et la réponse instinctive qu’elle mérite. Là où d’autres voient l’intelligence artificielle comme une menace ou un gadget, lui y voit une complicité. Il ne s’agit pas de soumettre la machine ni de s’y soumettre : il s’agit de délirer avec elle, de se perdre ensemble dans des visions imprévues, de transformer le bug en beauté.

Son terrain de jeu, c’est Atelier Synthetik :

une fabrique d’images rares, imprimées en Fine Art, signées, limitées, arrachées au flux infini du numérique. Ici, rien de lisse ni de standardisé : chaque œuvre est une cicatrice visuelle, née d’une erreur, d’un dérapage, d’un dialogue bancal mais incandescent entre l’humain et l’IA. L’art devient alors une expérience radicale : ce n’est pas la perfection qui compte, mais l’accident qui ouvre une brèche dans le réel.

Il regarde le monde comme un champ de contradictions :

Il voit dans les musées les traces du passé, dans les écrans les délires du présent, et dans les pixels les prophéties de demain. Sa démarche n’est pas de produire des “images jolies”, mais de mettre en tension tout ce qui nous traverse : la chair et le code, l’organique et le glitch, le sacré et le grotesque, la mémoire et l’oubli. Il fait de chaque image une fissure où le spectateur doit plonger — une fissure qui touche le cœur, bouscule l’âme et rappelle que la beauté n’est jamais lisse, mais toujours blessée.

Le Symbiotisme Karnellien qu’il incarne est un mouvement, mais aussi une attitude :

C’est accepter que l’art n’est pas une illumination solitaire, mais une contamination. C’est accueillir les visions de la machine comme on accueille des hallucinations : avec méfiance, amusement, mais surtout curiosité. C’est comprendre que l’erreur n’est pas fatale, mais fertile.

Dans un monde saturé d’images interchangeables, Phil Karnell revendique la rareté :

ses œuvres sont éditées en séries limitées, non par stratégie commerciale, mais parce que l’instant de leur apparition est unique. Chaque tirage est une trace : une preuve qu’un jour, une phrase, un bug, un délire partagé avec la machine ont accouché d’une vision impossible à reproduire.

Phil Karnell n’est donc pas un artiste qui “illustre” mais un collaborateur de l'IA :

il est un passeur de visions, un alchimiste du chaos numérique, un témoin ironique et passionné des noces étranges entre l’humain et la machine. Son monde est fait de fissures, d’éclats, de fragments : et c’est dans ces failles que l’art survit, qu’il résiste, qu’il se réinvente.

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