
“Le bug est mon pinceau, la mort mon filtre favori.”
Le Glitchisme Macabre élève l’erreur numérique au rang de relique sacrée. Les visages se brisent, les corps se dissolvent dans des pixels malades, et chaque bug devient une cicatrice esthétique.
C’est l’art de l’accident, un accident qui rit de la mort, qui transforme la décomposition digitale en carnaval d’ombres et de couleurs.